J’ai entendu cette merveille pour la première fois en regardant Zardoz de John Boorman. Ce film avec Sean Connery et Charlotte Rampling reste dans ma mémoire comme étant un nanard philosophico-futuriste très imprégné par l’esthétique des années 70 que ses acteurs et son réalisateur ne doivent pas pouvoir regarder de nouveau sans une certaine gène.
Et oui, ça surprend…