J’ai appris à jouer aux échecs, ou plutôt, j’ai appris les règles en P1 pour trouver un dérivatif pendant mes rares poses. Je jouais régulièrement, et j’arrivais parfois à battre le jeu d’échecs électronique que j’avais acheté.
Puis, ensuite, je n’ai plus touché à un échiquier, hormis une ou deux parties très courtes contre des humains, où je me faisais cramer en quelques minutes.
Sur iPhone, il existe une multitude de jeux d’échecs, gratuits ou non.
J’en ai trouvé deux gratuits qui me semblent pas mal (à mon tout petit niveau).
Chess with Friends ne permet pas de jouer contre un adversaire virtuel, mais de chercher des adversaires humains contre qui jouer, aléatoirement ou par nom d’utilisateur sur la base de données du jeu, soit sur sa liste de contacts. On peut jouer en direct, ou en différé, et demander à être prévenu par messagerie électronique lorsque l’adversaire a joué.
Effrayant, je n’arrive pas à réfléchir à plus de deux coups à l’avance.
Comme quoi, en cardiologie, il n’est pas nécessaire de réfléchir bien bien loin.
J’ai toujours dit que ce n’était pas une spécialité d’intellectuel!
On notera cependant qu’il faut avoir une bonne mémoire pour jouer les ouvertures (et dans une moindre mesure les finales) à un bon niveau. C’est plus important que la profondeur de la réflexion…car les bons joueurs calculent peu…du moins ils sélectionnent les bons coups possibles « à vue » après avoir récité les ouvertures.
C’est exactement ce qui m’a un peu « déçu ». A partir d’un certain point, ça devient plus une course à celui qui a la plus grosse bibliothèque de coups.