Les jours heureux.

Dans la fraîcheur de ce matin, à l’ombre de la maison, nous avons ramassé 16 kg de quetsches suintantes de sucre avec les petits.

J’en ai même remercié l’arbre en le caressant.

Sur la route, une ambulance et un camion de pompiers foncèrent toutes sirènes hurlantes.

Ce n’était pas pour nous.

Un peu plus tard, le fumet d’une côte de bœuf s’est élevé vers l’azur implacable, sans convives divins pour en jouir.

Carpe Diem.

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