Dans la fraîcheur de ce matin, à l’ombre de la maison, nous avons ramassé 16 kg de quetsches suintantes de sucre avec les petits.
J’en ai même remercié l’arbre en le caressant.
Sur la route, une ambulance et un camion de pompiers foncèrent toutes sirènes hurlantes.
Ce n’était pas pour nous.
Un peu plus tard, le fumet d’une côte de bœuf s’est élevé vers l’azur implacable, sans convives divins pour en jouir.
Carpe Diem.
bonnes confitures
C’est amusant, je viens justement de publier une note sur le bonheur de profiter de ces instants :-).
Il y a un billet où je sollicite également tes lumières (celui du 17 Août) pour me corriger si je ne raconte pas trop de bêtises.
Carpe Diem !
C’est fait!
Potentiellement un beau cas clinique, ta patiente!