Je suis en cours de tractation avec mon beau frère pour lui acheter un iPhone 3GS qu’il n’a pas encore, mais qu’il devrait aller incessamment sous peu courir acquérir chez Orange.
L’intérêt?
C’est qu’il n’a pas d’abonnement chez eux, et donc qu’il va bénéficier d’un tarif très avantageux, en tout cas bien plus que les 542.90€ que le 3GS me coûterait avec ma poignée de points.
Puis illico presto, je lui échange mon 3G contre son 3GS, avec un petit bonus, quand même.
Comme il n’est pas timbré comme moi, il se fiche en effet d’avoir un 3G ou un 3GS…
Tout le monde est gagnant: il aura un 3G quasi neuf gratuit, et moi, j’aurai un 3GS à bon compte.
Mon épouse m’a perfidement accusé de l’avoir « forcé » à se sentir obligé d’avoir un iPhone, et donc d’engager des dépenses inutiles.
Bon, c’est totalement faux.
Je me suis simplement contenté de lui faire une petite démonstration de la « bête » à la fin du repas de famille de dimanche dernier pour le convertir, alors qu’il visait plutôt un « Renoir », où je ne sais quoi…
En fait, l’iPhonite est contagieuse. Cherchez « iPhone » sur le moteur de recherche du NYT. Aujourd’hui, ce mot apparait 11 fois. Si vous faites la recherche sur 7 jours, la recherche revient d’emblée à « 10,000 Results ». Par contre, cette « vague » n’est pas sans poser de sérieux problèmes d’étiquette, notamment au cours des réunions de travail, comme le signale cet article du NYT.
Il suffit que quelqu’un le pose sur la table au cours d’un repas ou d’un apéritif pour que ceux qui en ont le sortent pour comparer leurs applications, et ceux qui n’en n’ont pas d’envisager d’aller courir l’acheter.
Il y en a aussi pas mal qui disent « Moi, jamais, c’est tout juste bon pour les cloportes! ». J’en faisais partie.
Hier, un généraliste correspondant m’a dit qu’il avait craqué, et se l’était fait offrir pour la fête des pères.
On a déjeuné ensemble il y a moins d’un mois. Il a bien tenu.
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