Je me suis permis de reprendre le titre de cette note du grand Jacques, probablement écrite sous le coup de l’émotion, car elle comporte un nombre inusuel de coquilles.
J’ai bien aimé l’exposé de l’étymologie du prénom de « l’autre », ce qui démontre que sa remarque était à la fois haineuse et inepte.
Ce prénom est difficile à porter, quoique de moins en moins à mesure ou « l’autre » se décatit et disparaît dans des limbes qu’il n’aurait jamais dû quitter.
En 1972, mes parents auraient pu faire un autre choix plus heureux. Mais à l’époque, ce prénom n’avait aucune résonance particulière.
Tant-pis, j’ai fait avec.
C’est vrai que les prénoms renvoient à des origines diverses.
Tant mieux.