Encore une histoire d’intestins de cochon, donc encore une histoire d’héparine.
Cette fois, c’est une histoire de gros sous et de miracle à la chinoise.
Ce n’est pas un peu inquiétant de ne dépendre presque exclusivement que d’une seule source d’approvisionnement pour la matière première d’un médicament aussi important que l’héparine?
(je crois que pour certain antibiotiques, le problème est le même, mais je ne retrouve plus la référence)
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In China, Strong Debut for Supplier of Heparin. By Bettina Wassener. The New York Times. Published: May 6, 2010.
Cette histoire de cochon chinois me rappelle une affaire où on a essayé de nous ‘intoxiquer’,medias ecrits et audiovisuels. Au momenbt du SRAS, et au moment d’une opération boursière importante, on nous a fortement suggéré de nous interesser à un labo dont l’HBPM était leader sur le marché et dont les lots auraient contenu le coronavirus !On nous expliquait que c’étaient des porcs chinois qui servaient de matière première et donc que le lien avec le SRAS était évident.
Après enquête, on s’est aperçu que la rumeur tombait bien pour faire baisser le cours du labo qui était l’objet d’une velléité de rachat par un concurrent.
C’est Dallas!