Les bonnes choses ont une fin.
Dernier extrait qui raconte les difficultés rencontrées par les confrères dans certains quartiers de Paris, à l’aube de la Grande Guerre.
Le récit est anonyme, vous comprendrez pourquoi en lisant le texte.
Ici, pas d’envols lyriques sur la souffrance, l’injustice de la mort ou la beauté de notre pratique, on est ancré dans le concret. Ce texte est un manuel pour les jeunes installés du début du siècle dernier.
Pour faciliter la navigation, j’ai créé un tag « histoire médicale » qui vous permettra aisément de retrouver l’ensemble des notes qui tournent autour du sujet.
(Pas dit que je ne fasse pas une note ou deux de plus lorsque je n’en aurai plus marre (après une nuit de sommeil?!) de chercher des PDF centenaires sur la toile)