La fin de Kystes

Son auteur l’a voulu, et il faut respecter sa décision.

Je ne suis pas très fort pour les élégies, mais je voudrais simplement dire quelques mots.

La fin de Kystes me touche beaucoup, car ce blog était l’expression d’un médecin sensible et intelligent.

Il me manquera.

Entier et parfois rugueux, ses notes ou ses commentaires apportaient toujours quelque chose à la discussion. Seuls les gens sans nuances pouvaient se sentir blessés.

Ses textes parfois techniques reflétaient sans interférence la complexité de la vie, mais ils savaient éclairer même les conduits les plus sombres et étroits du néphron.

Je crois à la puissance de l’esprit. Sans elle, que serait l’homme ? (…) Après la mort, l’esprit demeure le sel de la terre.

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