Suave mari magno, turbantibus æquora ventis,
E terra magnum alterius spectare laborem,
Non quia vexari quemquam est jucunda voluptas.
Sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est.
Il est doux, quand sur la grande mer les vents soulèvent les flots,
d’assister de la terre aux rudes épreuves d’autrui:
non que la souffrance de personne nous soit un plaisir si grand;
mais voir à quels maux on échappe soi même est chose douce.
Lucrèce. De Natura Rerum II 1-4
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Sympa cette expression latine que j’ai récemment découverte. Il faudra que je la ressorte à un prochain apéro.
Est-ce que le Suave mari magno participe au plaisir d’être médecin?
(Ummmpff, trop difficile la réflexion le matin, vite vite une aspirine, mes consultations au cabinet, Twitter et la Santé 2.0!)

Trop de podcast,épicure quand tu nous tient 😉
oui oui oui excellent traitement de l’hypocondrie latente des carabins