A début, j’ai simplement re-twitté une histoire particulièrement folklorique d’un effet secondaire connu des patchs de TNT, mais dans ce cas sexuellement transmissible, mais je la trouve assez bonne pour vous la raconter ici.
Pour résumer, l’intégralité de cette histoire est ici, une femme, une soixantaine d’années, arrive dans un hôpital américain en hypotension profonde au décours d’un rapport sexuel. Les réanimateurs ne trouvaient pas d’étiologie évidente quand son époux a donné la solution du problème. Depuis des années, impuissant et interdit d’inhibiteurs de la PDE-5, il suivait le conseil de son cardiologue, a priori avec succès, de se coller un de ses patchs de TNT sur le kiki avant chaque rapport.
Là, le problème, c’est que le patch est resté in situ, et avec l’hypervascularisation, l’hyperhémie, le frottement, pour peu qu’il s’agisse d’un patch avec une forte posologie, on imagine sans peine que la dose de trinitrine passée dans le sang de son épouse soit en effet importante et explique le collapsus.
(Si vous avez des soucis et que vous êtes sous pach de TNT, n’allez surtout pas faire un truc pareil après avoir lu cette note!)
Autre cas clinique rapporté je ne vous dirais pas d’où, l’histoire d’un patch de nicotine passé d’une poitrine à l’autre dans les mêmes conditions torrides et qui a provoqué nervosisme, palpitations… chez une non fumeuse.
Il manque cependant un élément fondamental dans votre article :
LA PHOTO !! 😉
A quand le préservatif à la trinitrine ?
Je remarque que dans les 2 cas évoqués, c’est le même topo : Monsieur veut et Madame finit à l’hôpital !!
Madame voulait peut être aussi…
Hahahaha!
Du même tonneau, le monsieur vient se plaindre de perdre tous ses poils du ventre; en fait, Madame étalait consciencieusement son traitement hormonal substitutif sur son ventre le soir avant de se coucher et en bons adeptes du missionnaire….
Mouhaha, elle est pas mal non plus celle-là!