Un article du NYT raconte la « naissance » de la lignée cellulaire HeLa dont l’immortalité a rendu son emploi courant en recherche fondamentale.
La femme à l’origine de cette lignée s’appelait Henrietta Lacks (et non Helen Lane, pseudonyme utilisé pour préserver son anonymat) et elle est décédée en 1951 d’un cancer du col de l’utérus, celui-là même à l’origine des cellules HeLa.
A l’époque, la bioéthique n’existait pas et Henrietta était noire. L’utilisation de ses cellules cancéreuses s’est donc faite sans son consentement, ni même sa connaissance, ni ceux de ses descendants.
L’article raconte comment sa fille a découvert la destinée du cancer du col de sa mère.
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A Lasting Gift to Medicine That Wasn’t Really a Gift. By Denise Grady. The New York Times. Published: February 2, 2010
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