J’ai enfin terminé cet excellent bouquin de Mario Puzo dont j’avais déjà parlé ici.
Je n’ai pas traîné par manque d’intérêt, mais plutôt par manque de temps et car j’avais l’esprit occupé ailleurs. Le bouquin est bon de la première à la dernière page. Comme je l’ai déjà dit, j’ai été étonné par la qualité et la puissance du style de Mario Puzo. Je m’attendais à quelque chose de bien plus fade. Le contexte mafieux sert d’écrin à l’ascension irrésistible (et à l’insu de son plein gré) de Michael Corleone.
Les personnages sont attachants, et les situations ont été reprises en hommage dans une ribambelle d’œuvres ultérieures.
Cette influence sur la culture populaire a même eu une conséquence assez étonnante d’après Roberto Saviano qui décrit dans Gomorra l’importance du film et du roman (avec Scarface de de Palma) en tant que référence pour les mafieux de la vraie vie (si mes souvenirs de lecture sont bons).
Puzo s’est inspiré de vrais mafieux pour écrire son livre qui a inspiré lui même d’autres vrais mafieux. La boucle est bouclée!
ce qui m’amène à la question suivante : les médecins s’inspireront-ils du bouquin de Jaddo pour soigner les colopathes ? 😉