Pour aller en Écosse, nous avons pris Ryanair.
L’aller a été un peu parcage de bestiaux, le retour s’est nettement mieux passé.
Le service n’est pas critiquable, il n’y en a pas. Du moins, aucun gratuit.
Il faut s’enregistrer de la maison et imprimer ses billets. Tout est optimisé pour réduire les coûts de fonctionnement et faire de l’argent sur des extras.
Mais le prix est difficilement battable: 524 euros pour 2 adultes et 2 enfants.
Donc rien à redire.
Par contre, j’ai découvert ce soir le patron de Ryanair, un certain Michael O’Leary, grâce à un article du NYT.
Ultra-libéral, pingre et provocateur, il peut se vanter d’une excellente réussite économique dans un climat particulièrement difficile.
J’adore bien évidemment le côté provocateur grande gueule du personnage, même si à la longue, ça doit fatiguer.
L’article du NYT est excellent, et je vous conseille vivement de regarder la petite vidéo d’une conférence de presse dont le lien est dans l’article.
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No Apologies From the Boss of a No-Frills Airline. By Sarah Lyall. The New York Times. Published: August 1, 2009
C’est surtout la musique entêtante qui est insupportable dans ryanair avant le décollage.La prochaine étape voyager debout.
Ce qui m’a étonné, c’est le côté omnibus: l’avion décharge ses passagers, recharge et repart à son point de départ.
« Le consommateur européen ramperait nu sur du verre cassé pour avoir des billets pas chers.«
Provoc’ j’ai pas de souci avec ça. Mais par contre, l’exploitation du personnel, et le flirt avec la sécurité, c’est niet. Je ne vole plus avec eux, même si je paie un peu plus cher. En effet, cautionner du dumping social c’est au dessus de mes force.
mieux vaut aeroflot!