Hier, en faisant mes macarons, et surtout en ratant deux fois la montée des blancs en neige, j’ai été frappé par la similarité entre ce geste pâtissier classique et le sexe.
D’abord, on parle quasiment de la même chose : protéines, glucose, œufs et sexe.
Ensuite, en dehors de l’utilisation du batteur électrique/vibromasseur, on retrouve plus ou moins le même geste répétitif.
On retrouve aussi plus ou moins la même structure alvéolaire.
Quand ça marche, quelle satisfaction d’être parti de pas grand-chose .
Mais surtout, quelle frustration quand ça ne monte pas, quel silence gêné devant le triste résultat flasque.
Il ne faut pas s’affoler, revenir aux fondamentaux, et au bout de la troisième fois, ça a marché.
Ça peut arriver même aux meilleurs, et quand ça rate, cela ne veut pas dire que l’on aime plus pâtisser…
😉
Toi tu as fais des spacemacarons hier.
Le secret pour que les blancs montent systématiquement, ne pas les utiliser le jour de la séparation mais les laisser quelques jours au frigo dans un récipient hermétique. Comme ça tu peux continuer ta comparaison, le sexe c’est encore meilleur quand on attend…
je n’ai pas encore réussi à louper le montage des blancs en neige, mais je te rassure je ne suis pas un surhomme je n’ai toujours pas réussi à faire monter la mayonnaise! Joli texte du dimanche en tout cas, merci!
La photo, c’ est le résultat des blancs en neige ou bien…
Quoi qu’ il en soit, toutes mes félicitations !