6 Replies to “Avez-vous (eu) une relation intime avec un(e) de vos patient(e)s?”
Cher Grangeblanche,
En voilà une statalakhon si chère à Dominique Dupagne !
Je ne retrouve pas une stat américaine mais qui existe et qui donne des chiffres beaucoup plus émoustillants.
Le résultat est proche des données de la littérature (pour ce qui concerne les médecins mâles)
« Studies put forward figures for male practitioner sex abuse of around 10% » http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18754205.
Chers amis,
Il y a un malentendu. Il ne faut pas mélanger les abus sexuels et les relations consentantes (même si l’éthique est mise en jeu dans une relation entre un médecin et sa patiente). Il faut aussi se méfier du déclaratif et surtout dans des enquêtes « ouvertes » où l’anonymat pourrait être facilement levé. Dix pour cent d’abus sexuels dans l’article cité par M Arnould, cela me paraît énorme. Dix pour cent de médecins qui ont déjà eu une relation intime (il faudrait une définition précise) me paraît peu. Je me référais, dans mon premier commentaire, à un article de l’association psychiatrique américaine, que j’ai retrouvé. Chez les psychiatres et les analystes c’est un tabou absolu (en théorie). Je vous propose de lire un commentaire et l’article. Je pense que je n’avais pas tout à fait tort. http://www.stanford.edu/group/psylawseminar/Sex.htm
Bonne soirée.
Cher Grangeblanche,
En voilà une statalakhon si chère à Dominique Dupagne !
Je ne retrouve pas une stat américaine mais qui existe et qui donne des chiffres beaucoup plus émoustillants.
Pour l’instant je trouve des 5-10%…
Le résultat est proche des données de la littérature (pour ce qui concerne les médecins mâles)
« Studies put forward figures for male practitioner sex abuse of around 10% »
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18754205.
Vi, je t’ai répondu sur Twitter! 😉
Chers amis,
Il y a un malentendu. Il ne faut pas mélanger les abus sexuels et les relations consentantes (même si l’éthique est mise en jeu dans une relation entre un médecin et sa patiente). Il faut aussi se méfier du déclaratif et surtout dans des enquêtes « ouvertes » où l’anonymat pourrait être facilement levé. Dix pour cent d’abus sexuels dans l’article cité par M Arnould, cela me paraît énorme. Dix pour cent de médecins qui ont déjà eu une relation intime (il faudrait une définition précise) me paraît peu. Je me référais, dans mon premier commentaire, à un article de l’association psychiatrique américaine, que j’ai retrouvé. Chez les psychiatres et les analystes c’est un tabou absolu (en théorie). Je vous propose de lire un commentaire et l’article. Je pense que je n’avais pas tout à fait tort. http://www.stanford.edu/group/psylawseminar/Sex.htm
Bonne soirée.
Je n’ai pas fait attention, mais dans mon esprit, c’étaient en effet des relations librement consenties.