#PrivésDeMG

Il y a un truc que je ne jamais compris dans les études de médecine, mais jamais au grand jamais, c’est pourquoi ceux qui ont la responsabilité la plus lourde en terme de santé publique et le métier le plus difficile qui ont la formation la moins optimale?

La médecine générale est la grande méprisée, la gueuse de notre cursus.

Je le sais d’autant mieux que je ne suis pas médecin généraliste et que je fus un digne représentant des Perses (les spécialistes, par opposition aux Mèdes, les futurs généralistes) dont parle Martin Winckler dans son roman « Les trois médecins« .

Mèdes/Perses, il est grand temps de passer à autre chose et de réfléchir à améliorer une formation initiale qui conditionne non seulement une vie de médecin, mais la vie de tous ses patients.

Un an après l’initiative Médecine Générale 2.0, je m’associe à mes confrères et amis, autres professionnels de santé afin de remettre sous les feux de la rampe un ensemble de propositions pragmatiques.

Vous retrouverez ces propositions sur cette page, n’hésitez pas à y faire vos commentaires.

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